السلام عليكم ورحمة الله تعالى وبركاته هذه قصة
كتبتها العام الماضي في اطار مسابقة للكتابة
لكنها لم تنل اعجاب الطلاب في ثانويتي اتمنى ان تنال اعجابكم
Je m'appelle Mamadou, j'ai vingt sept ans, je fais partie des milliers
de clandestins en Europe
Mon histoire commença lorsque je sus que je ne pourrais jamais exercer
un travail honorable au Congo, malgré mon bon niveau scolaire. Je venais
d'une famille modeste : mon père étais tapissier; quant a ma mère, elle
s'occupait de nous; une famille composé de six enfants
Quatre filles à marier et deux garçons encore étudiants mon frère Bacari
ainsi que moi.
Mon père à soixante dix ans, fatigué et gravement malade et malgré cela
il travaille dur tous les jours pour subvenir à nos besoins. Ma mère est
atteinte de maladie du cœur et a besoin d'une greffe le plus rapidement
possible, sinon elle risque de mourir. Moi ayant finis mes études, je
pensais pouvoir trouver un bon métier pour aider ma famille, mais
malheureusement dans notre pays ainsi que dans d'autres pays africains,
seul les personnes ayant des connaissances sont privilégiés pour avoir
le bon poste dans la bonne entreprise. Les jours de ma mère étaient donc
comptés alors; il ne me restais plus qu'une seule et unique solution :
quitter le Congo.
Ces pratiques se font régulièrement en Afrique; mais néomoins pour y
accéder il me fallais une très grande somme que je ne possédais pas;
alors j'ai vendu l'âne et la terre de mon père, les quelques bijoux de
ma mère et enfin je réussi à avoir cette somme mais je mis ma famille en
danger car il ne leur resté plus rien. J'apportais les cinq mille écus
au scheiks du village pour qu'il puisse les donner à la personne qui
était responsable de ce départ. Une semaine plus tard, je reçus une
lettre me confirmant l'heure le jour et la destination.
Lundi c'est-à-dire le lendemain à quatre heures je fus triste mais
heureux car j'étais persuadé que j'allais pouvoir enfin trouver le
bonheur que je cherchais depuis longtemps. Je dis au revoir à mes
proches. J'étais avec cinq cents autres personnes, tous dans le même cas
que moi, embarquèrent dans un bateau de la taille d'un lit.
Durant une semaine , nous étions mort de froid et de faim, mais le pire
étais l'inquiétude. Le propriétaire nous annonça que nous changions de
destination, car les vagues étaient de plus en plus grosses. " nous
allons en France " nous dit il. Nous étions ravis car nous avions déjà
entendu parler de ce pays, de sa culture et son patrimoine.
Le lendemain nous arrivâmes à bordeaux, nous étions affamés a tel point
que nous dévorâmes le contenu d'une poubelle que nous avions ramassé
prés d'un restaurant. Deux de mes amis et moi entrâmes dans le métro, un
appareil que je ne connaissais pas; une demi heure plus tard nous
sortîmes du métro et nous arrivâmes dans un cartier ou le cousin d'un de
mes amis nous attendîmes la bas.
Il y avait quelque chose d'étrange, j'entendais des gens parler la même
langue, ayant la même couleur de peau que moi et sans doute la même
religion, des femmes se promenant en habille traditionnel africain; j'us
l'impression d'être encore au Congo. J'aperçus au loin une boucherie
hallal, juste à côté un taxiphone; je voulais y rentrer lorsque deux
policiers s'approchèrent vers moi.
-bonjour m'sieur,
-b b bonjour
-vos papiers s'il vous plaît